Qiang est un nom donné à divers groupes ethniques, durant différentes périodes de l’histoire chinoise. D’anciennes tribus nomades sont considérées comme les ancêtres, à la fois des Qiangs modernes et du peuple Tibétain
Les Qiang historiques ont quitté, au cours du 1er millénaire av. J.-C., le nord du plateau tibétain, pour s’étendre vers l'Est et rejoindre le peuple Han, et d’autres branches, vers le sud pour rejoindre les provinces du Yunnan et du Guizhou. Certains sont allés encore plus loin, en Birmanie, formant de nombreux groupes ethniques aux langues tibéto-birmanes.
Les Qiangs vivent aujourd’hui principalement dans des zones montagneuses et accidentées, du nord-ouest de la province du Sichuan.
Leur population se montait à 306 072 habitants au recensement de 2000, avant un grave séisme en 2008, dont l'épicentre se situait dans sur leur territoire.
La population Qiang d'aujourd'hui est plus réduire que par le passé pour ce peuple dont l'histoire remonte jusqu'à la dynastie Shan.
Les Hans se considèreraient comme les descendants des Qiang.
Processus sociaux, créé par opérations volontaristes.
Les religions, les langues, le patrimoine culturel sont des éléménts participants au développement humain.
Le Développement humain en économie est un facteur du développement des sociétés. L'Indice de développement humain (IDH) permet de l'évaluer
L'indice de développement humain (IDH) est un indice statistique composite, créé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) en 1990 pour évaluer le niveau de développement humain des pays du monde. L'IDH se fonde sur trois critères : le PNB par habitant, l'espérance de vie à la naissance et le niveau d'éducation.
jeune filles de l'ethnie des Bajo en Indonésie en période de Ramadan
La nation est un « Ensemble de personnes vivant sur un territoire commun, conscient de son unité (historique, culturelle, etc.) et constituant une entité politique
La notion de Nation est in concept occidental apparu après le traité de Westphalie au XVIIIème siècle, lorsque les royaumes européens formalisèrent l’existence de frontières géographiques à l’intérieur desquelles la souveraineté nationale s’exprimait. Pour d’autre civilisation le concept n’est pas associé à une délimitation précise des frontières, mais à l’existence de réseau d’alliance plus ou moins souples avec des peuples suzerains.
La nation est devenue depuis la Révolution française la forme privilégiée sinon unique de l'organisation politique dans le monde si bien qu'elle peut nous apparaître comme le cadre « naturel » dans lequel se pense et se vit le lien social et politique moderne.
Il convient de distinguer la nation et l’État. « L’idée de Nation implique une idée de spontanéité; celle d’État, une idée d’organisation qui peut être plus ou moins artificielle. Une nation peut survivre, même lorsqu’elle est partagée entre plusieurs États; et un État peut comprendre plusieurs nations » (Cuvillier, Précis de philosophie)